Notre mère est le premier principe féminin qu’on a reçu, notre première référence au cœur de notre féminité – de lorsqu’on était dans son ventre, à se former de sa chair, jusqu’à la puberté où tranquillement d’autres modèles et influences sont venus s’ajouter à cette relation primordiale.
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Tout comme j’en témoigne auprès de beaucoup d’autres femmes autour de moi, la relation avec ma mère a pendant longtemps été sensible, inconfortable, parfois tendue. Beaucoup de non dit, présentant quelque chose à la surface entre nous, mais tout un univers en dessous rempli de dialogue dans le silence, dans le ressenti, caché, pas digéré.
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De toutes mes forces j’ai voulu ne pas ressembler à ma mère, ne pas vouloir être elle, autant à la surface que dans les espaces plus profonds de ce qu’elle porte, notre pouvoir, qui a toujours essayé de frayer son chemin jusque dans moi.
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Pourtant je suis faite d’elle. Et nos womb sont connectés, à la vie à la mort. Comme toutes celles de ma lignée, et comme l’est ma fille et celles qui suivront.
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La transmission entre femmes est quelque chose de très sensible, souvent difficile, très profond aussi, incompris, qu’on ne parle très peu, mais qui est tout le cœur de notre vie en tant que femme. Qui guide le type de femmes et d’hommes avec qui ont s’affilie et ce qu’on cherche ou se bat à manifester sur notre chemin de vie, recevant support ou résistance.
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Parce qu’en naissant on reçoit un bagage, qui vit en nous durant toute notre vie, qu’on en soit consciente ou pas, et qui comprend des couches et des couches inconscientes d’autant de blessures et de traumatismes que de potentiels et de désirs profonds qui cherchent à être perpétués de génération en génération, et tout ça au cœur d’un conditionnement et de traditions qui parfois forgent cette expérience sensible entre mère et fille.
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On y retrouve parfois une harmonie, un terrain d’entente – voire même pour certaines c’est « fusionnel », tissé serré. Mais si on se laisse descendre plus en dessous, il y a aussi peut-être d’autres expériences… comme ressentir de la compétition, avoir des difficultés à s’ouvrir, à faire confiance. Devoir créer tout un autre monde caché pour exister. Devoir correspondre à ce que notre mère cherche de nous. Ou devenir la mère de notre propre mère. Ou n’avoir jamais connu notre mère même, mais vivant tout de même à travers nous.
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En dessous dessous, qu’est-ce qui se passe vraiment dans la transmission/relation avec notre mère ?
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Quel est le pouvoir de notre mère sur nous ? Comment la femme opère à ce niveau ?
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Pourquoi on se sent si « pris » dans quelque chose ?
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Comment réussir à voir clair dans ça, dans ce que les codes de mon womb disent? Comment me respecter et à la fois honorer ce que je porte ?
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Jeudi soir 14 septembre, je vous invite chaleureusement au prochain Cercle de Lune, où l’on prendra le temps de descendre intimement dans cette réalité, de faire un espace pour laisser circuler et recevoir plus profondément en chacune l’expérience de notre relation à notre mère – les niveaux qu’on aborde moins ou jamais.
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L’énergie de la nouvelle lune nous guidera pour suivre intuitivement le chemin vers les espaces plus réprimés dans notre cœur et notre womb, à vivre l’expérience moins dans le mental mais plus dans le ressenti, pour apprendre des unes des autres, partager, écouter, supporté par un égrégore de guérison féminine sacrée.
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Bienvenue à toutes ~ sur donation ! 🌹
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Rachelle ~ ‍‍‍‍‍‍‍‍
Rachelle Menard
Rachelle