D’aussi longtemps que je me souvienne, ma relation aux femmes a toujours été, sous le couvert de la façade… intense, exigeante, complexe.

Parce que ce qui communique le plus entre les femmes, c’est tout le monde invisible, inconscient et subtil de notre pouvoir féminin que l’on connaît très peu, pour ne pas dire pas du tout.

Bien que j’ai pu vivre des moments de sincérité et de cœur quand les masques tombent, la femme a toujours été pour moi un être cruel.

Tout ceci n’a rien de personnel, mais plutôt la nature du serpent de notre féminité, quand on n’a pas encore traversé et voyagé au cœur des espaces noirs et inconnus des profondeurs de notre terre, d’où émerge ce qu’on cherche à être, à réaliser et incarner dans notre vie.

Sans guidance pour toucher nos racines, on reste toujours un peu à la recherche de notre force et de son fleurissement, anxieuse de ne pas la toucher, de voir sa vraie valeur.

Alors dans cet espace de survie, de scare city, les femmes entre nous, sommes des prédatrices, des compétitrices, des manipulatrices, cherchant subtilement à écraser, chacune à sa façon, pour gagner en pouvoir sur l’autre.

La femme cherche et cherchera toujours du pouvoir. Depuis sa genèse et le premier portail / vagin de notre humanité, l’essence de ce pouvoir prend forme dans la noirceur.

Notre nature est faite pour voir à travers l’invisible et le noir pour tester le mensonge, le faux, ce qui est faible – se cachant sous la lumière du jour.

Notre womb est codé pour faire évoluer la création : détruire ce qui n’est pas assez fort et manifester, multiplier ce qui l’est.

Des hiérarchies ou alliances se forment dans l’invisible entre femmes, qui ne sont pas des choses mentalement provoquées, mais qui viennent du calcul des pouvoirs des wombs, des différentes couleurs / fonctions / archétypes féminins et de leurs besoins.

Profondément territoriales – nous somme aussi féroces dans le travail à maintenir ce territoire, chaque femme voulant être la reine de son domaine.

 

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En approfondissant mon voyage de womb healing, je découvre les niveaux encore plus cachés de cette réalité…

C’est que derrière les démones que nous pouvons être, nous sommes aussi profondément sensibles et fragiles à découvrir ces forces en nous de notre pouvoir féminin, qui doivent aussi se révéler, prendre forme et devenir conscientes à travers le miroir des autres femmes…

Ce qui nous expose à la fois à des espaces de vulnérabilité quand une petite pousse en nous se met à fleurir, à se dégager pour apprendre… chaque fleur qui apparaît étant presque une menace à soi-même, que les autres femmes, par survie, jalousie, viennent piétiner, faute de ne savoir comment faire émerger les fleurs en elles-mêmes.

Le monde du féminin est profondément vicieux, lorsqu’il vit loin absorbé dans les entrailles de la Terre, des ancêtres et du karma, et oublie le Soleil et se déconnecte de la polarité de la sagesse Lunaire de notre féminité.

Car les femmes entre nous, nous pouvons à la fois se nuire et se faire ombrage, rester petites, à la surface, et à la fois, lorsqu’on apprend à s’étudier consciemment dans le reflet de l’autre, à se comprendre en profondeur, nous pouvons faire naître des villages, communautés, projets, familles et supports à travers lesquels tisser le futur.

Ceci est un long chemin de guérison, qui commence aussi par notre première relation au principe féminin – notre mère – et de quelle manière nous vivons les relations quotidiennement avec les femmes, même si ce n’est pas toujours conflictuel – de la jalousie, à l’envie, à se sentir écrasée ou absorbée par l’autre, jusqu’à vouloir dominer ou alors d’avoir peur, etc…

Tout ceci sont des portes d’entrées profondément riches pour mieux se connaître en profondeur / descendre dans son womb ~

Je vous invite chaleureusement à cette soirée sous la pleine lune où il sera possible de se libérer à voix haute de ce qu’on n’ose jamais s’avouer ou dire en lien avec le féminin.

C’est un rdv ce dimanche, au coeur d’un égrégore respectueux pour nous aider à lâcher prise et à cheminer plus loin dans ce qu’on déteste ou adore du féminin en soi et autour de soi, afin d’en ressortir beaucoup plus lucides, claires et intimes à notre véritable pouvoir.

Pour celles qui veulent aller plus loin et approfondir, bienvenue à l’Atelier immersif de 6h – Cercle de Guérison : Faire la paix avec son passé intime, ou encore la Formation avancée, à venir en 2024!

Bienvenue à toute femme sincère ~ 🌹
Rachelle ~

Rachelle Menard
Rachelle